Sniper rend hommage aux émeutiers de novembre 2005
dimanche 27 mai 2007
samedi 26 mai 2007
Le syndicat de police SGP-FO réagit
Le syndicat général de la police (SGP-FO, troisième syndicat) a demandé en 2003 à Nicolas Sarkozy de porter plainte contre le groupe Sniper.
"Nous ne pouvons admettre que sous prétexte de la liberté d'expression à laquelle nous sommes très attachés, ce genre de chanson qui s'attaque à la République et ses représentants, qui appelle aux actions violentes contre les policiers, puisse être diffusé impunément", affirme le SGP.
"Je pense qu'une lourde amende au bénéfice de nos orphelins serait susceptible de faire réfléchir ce genre d'individus", ajoute le secrétaire général du SGP Xavier Beugnet.
"Nous ne pouvons admettre que sous prétexte de la liberté d'expression à laquelle nous sommes très attachés, ce genre de chanson qui s'attaque à la République et ses représentants, qui appelle aux actions violentes contre les policiers, puisse être diffusé impunément", affirme le SGP.
"Je pense qu'une lourde amende au bénéfice de nos orphelins serait susceptible de faire réfléchir ce genre d'individus", ajoute le secrétaire général du SGP Xavier Beugnet.
Sniper se fout de ses fans
Article du Parisien : Sniper zappe la banlieue
Déception pour les mille fans qui attendaient Sniper au festival les Bruits Défendus, samedi à Etampes (Essonne). En tournée pour son troisième album, "Trait pour trait", le trio rap de Deuil-la-Barre (Val d'Oise), a renoncé à quelques heures du concert. "Ils étaient là à 15 heures, raconte un organisateur. Ils ont fait le tour de la salle, discuté entre eux puis sont partis au resto. Quand on les a appelés pour la balance, ils étaient sur la route pour Paris." Les organisateurs y voient une marque de mépris du groupe, programmé à l'Olympia le 27 juin : "Jouer dans une salle des fêtes de banlieue, ça ne leur plaît plus.". Version de Sniper : un des trois chanteurs, Akedo, souffrait du ventre.
Déception pour les mille fans qui attendaient Sniper au festival les Bruits Défendus, samedi à Etampes (Essonne). En tournée pour son troisième album, "Trait pour trait", le trio rap de Deuil-la-Barre (Val d'Oise), a renoncé à quelques heures du concert. "Ils étaient là à 15 heures, raconte un organisateur. Ils ont fait le tour de la salle, discuté entre eux puis sont partis au resto. Quand on les a appelés pour la balance, ils étaient sur la route pour Paris." Les organisateurs y voient une marque de mépris du groupe, programmé à l'Olympia le 27 juin : "Jouer dans une salle des fêtes de banlieue, ça ne leur plaît plus.". Version de Sniper : un des trois chanteurs, Akedo, souffrait du ventre.
EXCLUSIF: Les concerts de Sniper dégénèrent en bagarres
Des bagarres ont éclaté le 12 juin 2004 au concert de Genève
Le Palladium ressemblait à un champ de guerre ce samedi soir lors du concert de Sniper. Le public, composé de près de 500 jeunes adolescents, a dû être évacué avant la fin de la manifestation. Des bagarres ont éclaté entre spectateurs et gardes du corps des musiciens, malgré l’important service de sécurité mis en place. Deux surveillants de la Gérance immobilière ainsi que dix-sept membres de la société privée As Sécurité surveillaient les lieux et la police avait été prévenue des risques.
Il est près d’une heure du matin et la rue du Stand se donne des airs de banlieue parisienne. Voitures de police aux sirènes allumées, sol jonché de débris de verre, jeunes amassés sur les trottoirs… Prévisible ce dérapage? Evidemment.
Plusieurs patrouilles de police ont été dépêchées sur les lieux et, aux alentours de 1 heure du matin, la rue du Stand a été fermée à la circulation afin d’éviter tout accident. “Tout à coup, un automobiliste français âgé de 20ans a foncé à toute allure avec sa voiture dans la foule amassée devant la salle. Par miracle il n’y a pas eu de blessés”, raconte Christophe Zamadzki, porte-parole de la police. Maîtrisé peu après par les gendarmes, le conducteur, qui n’était pas pris de boisson, a avoué avoir “pété les plombs sans raison”.
Extraits de la chanson "La France"
On n'est pas dupe en plus on est tous chauds
Pour mission exterminer les ministres et les fachos
(…)
À croire que le seul moyen de s'faire entendre est de brûler des voitures
(…)
Rapatriement, et maintenant la haine coule dans nos artères
{Refrain:}
La France est une garce et on s'est fait trahir
Le système voilà ce qui nous pousse à les haïr
La haine c'est ce qui rend nos propos vulgaires
On nique la France sous une tendance de musique populaire
On est d'accord et on se moque des répressions
On se fout de la république et de la liberté d'expression
Faudrait changer les lois et pouvoir voir
Bientôt à l'Élysée des arabes et des noirs au pouvoir
Frère faut que ça pète tu sais que le système nous marche dessus
(…)
Les frères sont armés jusqu'aux dents, tous prêts à faire la guerre
Ca va du gun jusu'au fusil à pompe, pit bull et rotweiler
(…)
Frère, je lance un appel, on est là pour tous niquer
Leur laisser des traces et des séquelles avant de crever
(…)
Faut leur en faire baver v'la la seule chose qu'ils ont méritée
Ma parole les gars si il y en a un qui se la joue vénères
i y veut s'la raconter j'vais lui baiser sa mère
T'façon j'ai plus rien à perdre, j'aimerais les faire pendre
(…)
La France est une garce et on s'est fait trahir
Mon seul souhait désormais est de nous voir les envahir
(…)
Jusqu'à Saint-Denis, on est tous solidaire
Garges Sarcelles aussi, on est tous solidaires
On n'est pas prêt d'se taire, lève ton doigt en l'air, l'Etat nique sa mère
Pour mission exterminer les ministres et les fachos
(…)
À croire que le seul moyen de s'faire entendre est de brûler des voitures
(…)
Rapatriement, et maintenant la haine coule dans nos artères
{Refrain:}
La France est une garce et on s'est fait trahir
Le système voilà ce qui nous pousse à les haïr
La haine c'est ce qui rend nos propos vulgaires
On nique la France sous une tendance de musique populaire
On est d'accord et on se moque des répressions
On se fout de la république et de la liberté d'expression
Faudrait changer les lois et pouvoir voir
Bientôt à l'Élysée des arabes et des noirs au pouvoir
Frère faut que ça pète tu sais que le système nous marche dessus
(…)
Les frères sont armés jusqu'aux dents, tous prêts à faire la guerre
Ca va du gun jusu'au fusil à pompe, pit bull et rotweiler
(…)
Frère, je lance un appel, on est là pour tous niquer
Leur laisser des traces et des séquelles avant de crever
(…)
Faut leur en faire baver v'la la seule chose qu'ils ont méritée
Ma parole les gars si il y en a un qui se la joue vénères
i y veut s'la raconter j'vais lui baiser sa mère
T'façon j'ai plus rien à perdre, j'aimerais les faire pendre
(…)
La France est une garce et on s'est fait trahir
Mon seul souhait désormais est de nous voir les envahir
(…)
Jusqu'à Saint-Denis, on est tous solidaire
Garges Sarcelles aussi, on est tous solidaires
On n'est pas prêt d'se taire, lève ton doigt en l'air, l'Etat nique sa mère
Nous ne voulons pas de Sniper à Lyon
Le 15 juin prochain, le groupe de rap Sniper, se produira en concert au Transbordeur de Villeurbanne. Considéré comme un nom phare du rap dit « rebelle », il est tristement célèbre pour ses incessants appels à la haine contre la France, ses symboles et ses policiers.
Plusieurs interdictions ont été prononcées dans le passé grâce aux plaintes des riverains, comme à Aix-en-Provence (prévu le 24 mai 2007), et précédemment à Mulhouse, Lille, Nice et Toulouse.Pas plus que dans ces villes nous n’accepterons le flot de haine et d’appel à la violence d’un groupe dangereux qui devrait être dissout depuis longtemps.
Lyonnais et villeurbannais, unissons nos volontés pour empêcher un concert dont les paroles incitent directement les casseurs à l’émeute.
C’est pourquoi nous présenterons au préfet du Rhône une pétition déjà signée par plusieurs centaines de personnes, que nous arrêterons au chiffre symbolique de 2008, comme le souhait qu’il n’y ait plus l’année prochaine, de relais de ces discours violents, qui ont déjà trop fait de mal à l’identité française.
Contact: gerald.caron@gmail.com
Plusieurs interdictions ont été prononcées dans le passé grâce aux plaintes des riverains, comme à Aix-en-Provence (prévu le 24 mai 2007), et précédemment à Mulhouse, Lille, Nice et Toulouse.Pas plus que dans ces villes nous n’accepterons le flot de haine et d’appel à la violence d’un groupe dangereux qui devrait être dissout depuis longtemps.
Lyonnais et villeurbannais, unissons nos volontés pour empêcher un concert dont les paroles incitent directement les casseurs à l’émeute.
C’est pourquoi nous présenterons au préfet du Rhône une pétition déjà signée par plusieurs centaines de personnes, que nous arrêterons au chiffre symbolique de 2008, comme le souhait qu’il n’y ait plus l’année prochaine, de relais de ces discours violents, qui ont déjà trop fait de mal à l’identité française.
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